Pendant une bonne partie des 17e et 18e siècles, les activités économiques caractéristiques de Terre-Neuve et du Labrador ne favorisent pas les interactions entres les groupes autochtones et les Européens.
Cinquante ans après le lancement du premier programme de centralisation et plus de trente ans après la fin de celui-ci, la relocalisation suscite toujours controverse et émotion.
De nombreux peuples autochtones de la province et du pays voient dans l'autonomie gouvernementale une façon de préserver leur culture et d'avoir un meilleur contrôle sur leurs destinées.
À la fin de la Deuxième Guerre mondiale, les modestes villages de pêche d'Argentia et de Marquise avaient été transformés en base militaire américaine gigantesque.
L'aménagement d'une base aérienne américaine à Stephenville pendant la Deuxième Guerre mondiale a rapidement transformé le paisible village agricole de Stephenville en une ville de garnison prospère.
Cet article porte sur le gouvernement de Terre-Neuve et du Labrador du début de l'union avec la fédération canadienne jusqu'à la fin des années Smallwood (1949-1972)
Lorsque Terre-Neuve (et le Labrador) entre dans la Confédération en 1949, les gouvernements n'ont prévu aucune mesure spéciale pour les peuples autochtones de la nouvelle province.
Cet article explique le programme de relocalisation que le gouvernement de Terre-Neuve et du Labrador a mis en place dans les années 1960 et au début des années 1970, et qui consistait à déplacer les familles de villages côtiers vers des localités plus centralisées.