Malgré un climat et des sols peu propices, l'agriculture aura été cruciale pour les villages isolés de Terre-Neuve et du Labrador, qui ne tiraient que de faibles revenus de la pêche.
Du début du siècle jusqu'en 1914, une hausse générale des prix (y compris de ceux des produits du phoque) a apporté une relative prospérité à Terre-Neuve.
Au fil du 20e siècle, l'adoption de technologies de pêche de plus en plus complexes et efficaces a transformé l'industrie de la pêche à Terre-Neuve-et-Labrador.
La fermeture de la pêche a mis un terme à près de 500 ans d'activités de pêche à Terre-Neuve et au Labrador, et jeté au chômage quelque 30 000 personnes.
Si Terre-Neuve n'avait congelé que 1,5 millions de livres de poisson de fond en 1939, la déclaration de la Deuxième Guerre mondiale allait propulser cette industrie vers la prospérité.
L'industrie historique de la pêche à la morue à Terre-Neuve et au Labrador a attiré des flottes de pêche pendant cinq siècles avant qu'on y mette un terme indéfiniment.
Divers progrès dans les technologies de pêche et de transformation du poisson ont entraîné des changements dramatiques dans les pêcheries de Terre-Neuve-et-Labrador.
Des décennies de surpêche à Terre-Neuve-et-Labrador ont causé l'effondrement des stocks de morue du Nord durant les années 1990 et entraîné un moratoire.
Après le moratoire de 1992 sur la pêche de la morue, l'industrie de la pêche de Terre-Neuve-et-Labrador est passée de l'exploitation du poisson de fond à celle des crustacés et des mollusques.
L'industrialisation de la pêche à Terre-Neuve et au Labrador au cours du XXe siècle a transformé la façon dont les gens de la province travaillaient et subsistaient.
Dans les années 1980, un litige a opposé le Canada et la France au sujet de la délimitation des espaces maritimes entre leurs territoires respectifs dans la région.