Les articles correspondants"En français" (Total 43)

  • Cliquez sur TABLE DES MATIÈRES pour accéder à tous les sujets, y compris le lien vers la Première Guerre mondiale.

  • À l'âge de 15 ans, Arthur Scammell (1913-1995) a écrit l'une des plus célèbres et impérissables chansons folkloriques de Terre-Neuve.
  • bûcherons d'avant la Confédération, société, site Web du Patrimoine de Terre-Neuve et Labrador
  • L'île de Terre-Neuve contient 15 millions d'acres de forêt, dont plus de neuf millions sont considérés productifs.
  • Les forêts de Terre-Neuve-et-Labrador sont une ressource renouvelable, pour autant qu'elles sont exploitées de façon durable.
  • La mécanisation progressive de l'industrie forestière de Terre-Neuve-et-Labrador a transformé les relations entre les bûcherons et les écosystèmes forestiers.
  • Les industries forestières contribuent fortement à l'économie de Terre-Neuve-et-Labrador. Elles créent des emplois, stimulent les entreprises locales, ajoutent aux recettes du gouvernement par les taxes et divers autres moyens, et aident à diversifier l'économie provinciale.
  • Les progrès technologiques durant la deuxième moitié du 20e siècle ont révolutionné l'exploitation commerciale des forêts à Terre-Neuve-et-Labrador.
  • Le premier réseau télégraphique à Terre-Neuve a été créé dans le cadre d'un plan visant à y faire atterrir un câble transatlantique.
  • Les progrès accomplis dans le secteur des transports à la fin du 19e et au début du 20e siècle ont eu un impact considérable sur le développement des industries minières et forestières à Terre-Neuve-et-Labrador.
  • Au 18e siècle, le nombre de pêcheurs anglais, la productivité et les revenus tirés de la pêche migratoire à Terre-Neuve atteignent leur apogée.
  • Des pêcheurs du Portugal, des provinces basques de la France et de l'Espagne, du nord de la France (peut-être de la Normandie) et du sud-ouest de l'Angleterre (le West Country) ont visité la côte orientale de Terre-Neuve au cours de la première moitié du 17e siècle et certains y ont même accosté dès la première décennie du 16e siècle.
  • Une introduction aux fouilles archéologiques menées dans la colonie d'Avalon à Ferryland, T.-N.-L.
  • Après avoir trouvé des artefacts dans l'une des couches les plus profondes du site, les archéologues ont soupçonné que ceux-ci pouvaient avoir été fabriqués par les Béothuks.
  • De l'information sur sir George Calvert et l'établissement de la colonie d'Avalon à Ferryland.
  • Chaque artefact ou échantillon retiré de la matrice sédimentaire d'une unité de fouille est décrit brièvement sur une étiquette. L'emplacement exact, la profondeur sous la surface du sol, la date de la fouille et le nom du fouilleur sont inscrits sur l'étiquette.
  • Peu de temps après l'effondrement massif du marché survenu à la fin des années 1780, les guerres franco-anglaises ont eu un effet dévastateur sur la pêche migratoire.
  • Les artefacts inorganiques sont constitués d'éléments présents dans la croûte terrestre. De par leur nature, ces objets ne s'enflamment pas, sont insensibles à la lumière et à l'humidité, ont une structure cristalline ou de verre, sont fragiles, et varient de poreux à denses, et de mous à durs.
  • Terre-Neuve ne comptait aucune ville de garnison jusqu'à ce que la France établisse une colonie à Plaisance en 1662.
  • L'élément le plus apparent des ouvrages défensifs est un large fossé, de quelque 6,1 mètres (20 pieds) de large et d'environ 1,2 mètre (4 pieds) de profond qui semble avoir bordé au moins toute l'extrémité est de la colonie.
  • Après avoir été mis au jour, stabilisés/conservés, documentés, catalogués et numérotés, les artefacts sont gardés dans la salle d'entreposage des collections. C'est là que reposent les objets une fois qu'ils sont « hors sol »