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  • Les premiers spectacles dont on ait enregistré la présentation à Terre-Neuve remontent à 1583, soit au voyage durant lequel Sir Humphrey Gilbert a revendiqué l'île au nom de la Couronne britannique
  • Exposé sur la création de compagnies théâtrales professionnelles locales à Terre-Neuve-et-Labrador
  • La création collective repose sur un processus par lequel une troupe d'acteurs recherche, improvise et crée un scénario.
  • La présentation de spectacles dramatiques originaux, associant souvent musique, récitation et drame, a une longue histoire.
  • Tradition du théâtre amateur : compagnies de théâtre, concerts, carnavals, festivals, Arts and Culture Centre.
  • L'histoire du théâtre à Terre-Neuve-et-Labrador est longue et variée.
  • Jusque tard au 20e siècle, la pêche a constitué la principale activité économique à Terre-Neuve et au Labrador.
  • Les Autochtones des cultures préeuropéennes utilisaient la pierre pour fabriquer des outils. Ils semblaient avoir une prédilection pour le chert, une pierre siliceuse à grain fin.
  • Des pêcheurs du Portugal, des provinces basques de la France et de l'Espagne, du nord de la France (peut-être de la Normandie) et du sud-ouest de l'Angleterre (le West Country) ont visité la côte orientale de Terre-Neuve au cours de la première moitié du 17e siècle et certains y ont même accosté dès la première décennie du 16e siècle.
  • Une introduction aux fouilles archéologiques menées dans la colonie d'Avalon à Ferryland, T.-N.-L.
  • Après avoir trouvé des artefacts dans l'une des couches les plus profondes du site, les archéologues ont soupçonné que ceux-ci pouvaient avoir été fabriqués par les Béothuks.
  • De l'information sur sir George Calvert et l'établissement de la colonie d'Avalon à Ferryland.
  • Chaque artefact ou échantillon retiré de la matrice sédimentaire d'une unité de fouille est décrit brièvement sur une étiquette. L'emplacement exact, la profondeur sous la surface du sol, la date de la fouille et le nom du fouilleur sont inscrits sur l'étiquette.
  • Les artefacts inorganiques sont constitués d'éléments présents dans la croûte terrestre. De par leur nature, ces objets ne s'enflamment pas, sont insensibles à la lumière et à l'humidité, ont une structure cristalline ou de verre, sont fragiles, et varient de poreux à denses, et de mous à durs.
  • L'élément le plus apparent des ouvrages défensifs est un large fossé, de quelque 6,1 mètres (20 pieds) de large et d'environ 1,2 mètre (4 pieds) de profond qui semble avoir bordé au moins toute l'extrémité est de la colonie.
  • Après avoir été mis au jour, stabilisés/conservés, documentés, catalogués et numérotés, les artefacts sont gardés dans la salle d'entreposage des collections. C'est là que reposent les objets une fois qu'ils sont « hors sol »
  • Les tessons de céramique constituent au moins le tiers des quelque un million d'artefacts qui ont été extraits du site archéologique de Ferryland.
  • Article sur la forge qui a été construite dans la colonie d'Avalon, à Terre-Neuve, pendant l'été 1622, et regard sur quelques-uns des artefacts qui y ont été mis au jour.
  • Au cours d'un demi siècle d'occupation officielle, les Français érigent une série d'ouvrages fortifiés aux endroits jugés les plus propices à la défense de la colonie : un fort sur le plateau à l'est de Plaisance; une palissade autour de la ville; le fort louis du côté nord du goulet (aujourd'hui Jerseyside); le fort Royal sur la montagne (Castle Hill); une petite redoute sur le Gaillardin ainsi que plusieurs petites batteries s'échelonnant du port jusqu'à l'embouchure de la baie.
  • Survol des fouilles archéologiques menées à Ferryland (T.-N.-L.)