Les guerres napoléoniennes (1803-1815), une période de grands bouleversements sociaux en Europe, ont favorisé la prospérité économique à Terre-Neuve et au Labrador
Bien que la ligne principale ait déjà été en soi un exploit d'optimisme technique et politique, les lignes secondaires ont aussi constitué des éléments clés du réseau ferroviaire à Terre Neuve.
Depuis l'arrivée des Européens jusqu'au XXe siècle, Terre-Neuve a surtout été convoitée pour la richesse de ses ressources marines, et en particulier pour sa morue.
Telle qu'elle était menée à Terre-Neuve et au Labrador au 19e siècle, la chasse au phoque commerciale printanière était une industrie dangereuse et exigeante.
En 1911, P. T. McGrath écrivait de la Reid Newfoundland Company qu'elle était « le plus important payeur de l'île, plus important que le gouvernement lui-même. »
La croissance du secteur non maritime durant la première moitié du 20e siècle a contribué à la diversification de l'économie de Terre-Neuve et du Labrador dans des secteurs autres que celui de la pêche.
Dans l'histoire du chemin de fer à Terre-Neuve, peu d'enjeux auront soulevé autant de controverse que les concessions de terres liées aux divers contrats de construction...
Peu après la découverte de l'Amérique du Nord par Cabot, des stations baleinières saisonnières étaient établies sur le littoral labradorien du détroit de Belle Isle.
Les expéditions de William Cormack n'ont pas provoqué de ruée dans l'arrière-pays de Terre-Neuve. Il est donc resté le domaine des Mi'kmaq pendant une grande partie du 19e siècle