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  • bûcherons d'avant la Confédération, société, site Web du Patrimoine de Terre-Neuve et Labrador
  • Bien qu'elle soit souvent décrite en termes différents, l'expédition qui a mené à la « découverte » de Terre-Neuve était avant tout une entreprise commerciale.
  • L'île de Terre-Neuve contient 15 millions d'acres de forêt, dont plus de neuf millions sont considérés productifs.
  • Les forêts de Terre-Neuve-et-Labrador sont une ressource renouvelable, pour autant qu'elles sont exploitées de façon durable.
  • La mécanisation progressive de l'industrie forestière de Terre-Neuve-et-Labrador a transformé les relations entre les bûcherons et les écosystèmes forestiers.
  • Les industries forestières contribuent fortement à l'économie de Terre-Neuve-et-Labrador. Elles créent des emplois, stimulent les entreprises locales, ajoutent aux recettes du gouvernement par les taxes et divers autres moyens, et aident à diversifier l'économie provinciale.
  • Les progrès technologiques durant la deuxième moitié du 20e siècle ont révolutionné l'exploitation commerciale des forêts à Terre-Neuve-et-Labrador.
  • Une fois la ligne de chemin de fer complétée, il fut question de regrouper et d'étendre les services de vapeurs côtiers à Terre-Neuve et au Labrador.
  • Les progrès accomplis dans le secteur des transports à la fin du 19e et au début du 20e siècle ont eu un impact considérable sur le développement des industries minières et forestières à Terre-Neuve-et-Labrador.
  • Les artefacts inorganiques sont constitués d'éléments présents dans la croûte terrestre. De par leur nature, ces objets ne s'enflamment pas, sont insensibles à la lumière et à l'humidité, ont une structure cristalline ou de verre, sont fragiles, et varient de poreux à denses, et de mous à durs.
  • Établissement de la colonie de St. John's au 16e siècle.
  • Terre-Neuve ne comptait aucune ville de garnison jusqu'à ce que la France établisse une colonie à Plaisance en 1662.
  • L'histoire de la goélette Effie M. Morrissey à bord de laquelle, durant près de 20 ans, le capitaine Bob Bartlett a conduit des équipes de scientifiques dans l'Arctique.
  • Après avoir été mis au jour, stabilisés/conservés, documentés, catalogués et numérotés, les artefacts sont gardés dans la salle d'entreposage des collections. C'est là que reposent les objets une fois qu'ils sont « hors sol »
  • Les tessons de céramique constituent au moins le tiers des quelque un million d'artefacts qui ont été extraits du site archéologique de Ferryland.
  • Même si Terre-Neuve est régulièrement décrite comme « la plus ancienne colonie britannique », une prétention fondée sur le voyage de Cabot en 1497 et la prise de possession par Sir Humphrey Gilbert en 1583, il n'en demeure pas moins que la France, dès le tout début, a été un participant de premier plan à l'exploration et à la mise en valeur de Terre-Neuve.
  • Chaque établissement de pêche compte habituellement une maison de l'habitant, un magasin à marchandises et à provision, des cabanes pour l'équipement de pêche et les équipages. Chaque habitant-pêcheur tente de garder la documentation couvrant les contrats passés avec les pêcheurs-engagés, les achats de marchandises, les ventes de morue, les billets à ordre, les avances de crédit allouées ou reçus, etc.
  • Coup d'Sil sur le laboratoire de conservation situé sur le site de Ferryland et les étapes nécessaires à la bonne conservation des artefacts.
  • La côte française appelée French Shore est issue du traité d'Utrecht ratifié en 1713.
  • Les activités de pêche par les Français à Terre-Neuve ont atteint leur apogée durant la première moitié du XVIIe siècle. Les Espagnols et les Portugais disparaissaient peu à peu de la scène, ne laissant pour seuls concurrents que les Anglais.