La croissance du secteur non maritime au cours de la première moitié du 20e siècle a entraîné une transformation du rôle traditionnel de certaines femmes dans la société de Terre-Neuve et du Labrador.
Avec la construction de la ligne de chemin de fer, les travailleurs ont commencé à quitter leur foyer au bord des côtes afin de trouver du travail dans les nouvelles mines et usines à l'intérieur des terres de l'île.
Les progrès accomplis dans le secteur des transports à la fin du 19e et au début du 20e siècle ont eu un impact considérable sur le développement des industries minières et forestières à Terre-Neuve-et-Labrador.
Dans l'Empire britannique en pleine expansion des XVIIe et XVIIIe siècles, Terre-Neuve était une anomalie, considérée comme une industrie plutôt que comme une colonie, comme une activité plutôt que comme une société.
Les activités de pêche par les Français à Terre-Neuve ont atteint leur apogée durant la première moitié du XVIIe siècle. Les Espagnols et les Portugais disparaissaient peu à peu de la scène, ne laissant pour seuls concurrents que les Anglais.
Autrefois désignés Naskapi-Montagnais, les Innus sont un peuple de langue algonquine dont le territoire (Nitassinan) couvre l'est de la péninsule Québec-Labrador. Dans la langue des Innus, l'Innu-aimun, le mot innu signifie être humain.
Les Inuit de la côte nord du Labrador sont les descendants directs d'un peuple de chasseurs préhistoriques qui avait occupé tout le territoire canadien depuis l'Alaska.
À la fin de la Deuxième Guerre mondiale, les modestes villages de pêche d'Argentia et de Marquise avaient été transformés en base militaire américaine gigantesque.