Au fil du 20e siècle, l'adoption de technologies de pêche de plus en plus complexes et efficaces a transformé l'industrie de la pêche à Terre-Neuve-et-Labrador.
La mécanisation progressive de l'industrie forestière de Terre-Neuve-et-Labrador a transformé les relations entre les bûcherons et les écosystèmes forestiers.
La fermeture de la pêche a mis un terme à près de 500 ans d'activités de pêche à Terre-Neuve et au Labrador, et jeté au chômage quelque 30 000 personnes.
Si Terre-Neuve n'avait congelé que 1,5 millions de livres de poisson de fond en 1939, la déclaration de la Deuxième Guerre mondiale allait propulser cette industrie vers la prospérité.
Devant l'évolution des conditions du marché et de la concurrence, il est devenu avantageux pour la Grande-Bretagne d'avoir une pêcherie basée à Terre-Neuve.
Bien que la ligne principale ait déjà été en soi un exploit d'optimisme technique et politique, les lignes secondaires ont aussi constitué des éléments clés du réseau ferroviaire à Terre Neuve.
Depuis l'arrivée des Européens jusqu'au XXe siècle, Terre-Neuve a surtout été convoitée pour la richesse de ses ressources marines, et en particulier pour sa morue.