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  • Les premiers spectacles dont on ait enregistré la présentation à Terre-Neuve remontent à 1583, soit au voyage durant lequel Sir Humphrey Gilbert a revendiqué l'île au nom de la Couronne britannique
  • Bien qu'ils n'aient pas toujours eu le prestige ou la visibilité qu'ils connaissent aujourd'hui, les arts visuels ont une longue histoire à Terre-Neuve et au Labrador. On entend par art visuel toute oeuvre (peinture, gravure, dessin, sculpture, installation, photographie, vidéo, cinéma, voire même performance) qui communique une idée ou une émotion par l'entremise de procédés visuels.
  • On mentionne souvent les Quodlibets (1628), écrits par Robert Hayman alors qu'il était gouverneur de la colonie à Bristol Hope, à Terre-Neuve, en parlant du premier livre de poésie en anglais écrit sur le territoire du Canada actuel. Ceci dit, il faudra attendre jusqu'à assez tard dans le présent siècle pour que des écrivains locaux commencent à écrire une littérature d'imagination originale à Terre-Neuve.
  • Terre-Neuve a joué un rôle important dans le développement des voyages aériens long courriers.
  • Cette écorégion qui entoure le lac Melville est caractérisée par des étés humides et frais et des hivers froids.
  • L'écorégion du réservoir Smallwood/Michikamau au Labrador peut être divisée en deux secteurs.
  • L'écorégion de la rivière Paradise est située au sud-est du Labrador.
  • L'Angleterre de la fin du XVIe siècle s'intéressait de plus en plus à l'implantation de colonies en Amérique du Nord. Au nombre des promoteurs, il y avait Anthony Parkhurst, auteur d'un opuscule sur Terre-Neuve, et Sir Humphrey Gilbert, qui avait fait escale dans le havre de St. John's en 1583, avant son tragique voyage de retour vers le continent.
  • John Cabot a peut-être découvert la route océanique de l'Europe à l'Amérique du Nord, mais les informations qu'il a ramenées n'ont rien fait pour clarifier la géographie de l'est du Canada. Il aurait tout aussi bien pu toucher la pointe nord-est de l'Asie ou une des îles semées dans l'océan, et personne n'aurait pu dire le contraire.
  • Même si Terre-Neuve est régulièrement décrite comme « la plus ancienne colonie britannique », une prétention fondée sur le voyage de Cabot en 1497 et la prise de possession par Sir Humphrey Gilbert en 1583, il n'en demeure pas moins que la France, dès le tout début, a été un participant de premier plan à l'exploration et à la mise en valeur de Terre-Neuve.
  • Au début du 17e siècle, il y a déjà près de 200 ans que les pêcheurs européens fréquentent les bancs de morue de Terre-Neuve. En fait, dès le 16e siècle, les pêcheries deviennent une activité économique internationale.
  • Les activités de pêche par les Français à Terre-Neuve ont atteint leur apogée durant la première moitié du XVIIe siècle. Les Espagnols et les Portugais disparaissaient peu à peu de la scène, ne laissant pour seuls concurrents que les Anglais.
  • Pour les Français qui pêchent au large de Terre-Neuve, le XVIIIe siècle s'est caractérisé par un cortège de difficultés. Après un déclin catastrophique des stocks de morue côtière entre 1710 et la fin des années 1720, le conflit franco-anglais a eu un impact encore plus profond, bouleversant la pêche, les échanges et les marchés.
  • Pour avoir une idée de l'importance du poisson dans le régime alimentaire des Européens du XVe siècle, il suffit de savoir que la pêche employait plus de travailleurs que toute autre occupation, exception faite de l'agriculture.
  • L'accès à la pêche de Terre-Neuve s'est révélé l'un des points les plus litigieux des négociations de paix après la guerre de Sept Ans. Le Gouvernement français était résolu à poursuivre la pêche dans la région. Ses négociateurs ont donc demandé à la Grande-Bretagne de laisser les Français pêcher dans le golfe du Saint-Laurent, ainsi que sur le French Shore de Terre-Neuve telle que délimité par le traité d'Utrecht (1713). En outre, la France voulait un havre pour sa flotte de pêche sur les bancs et sa flotte hauturière, et demandait qu'on lui laisse le Cap-Breton à cette fin.
  • Les Béothuks ont été les habitants originaux de l'île de Terre-Neuve. Ces chasseurs-cueilleurs de langue algonquine n'atteignaient probablement pas le millier à l'arrivée des Européens. Ils descendaient d'Indiens récents dont la culture a été appelée Little Passage Complex.
  • Autrefois désignés Naskapi-Montagnais, les Innus sont un peuple de langue algonquine dont le territoire (Nitassinan) couvre l'est de la péninsule Québec-Labrador. Dans la langue des Innus, l'Innu-aimun, le mot innu signifie être humain.
  • Les Inuit de la côte nord du Labrador sont les descendants directs d'un peuple de chasseurs préhistoriques qui avait occupé tout le territoire canadien depuis l'Alaska.
  • Sur la pandémie de grippe espagnole qui s'est déclarée à Terre-Neuve et au Labrador en 1918, et qui a fait 600 morts en moins de 5 mois.
  • L'aérodrome canadien de Goose Bay au Labrador a eu un impact considérable sur son environnement pendant la Deuxième Guerre mondiale.