La mécanisation progressive de l'industrie forestière de Terre-Neuve-et-Labrador a transformé les relations entre les bûcherons et les écosystèmes forestiers.
Si Terre-Neuve n'avait congelé que 1,5 millions de livres de poisson de fond en 1939, la déclaration de la Deuxième Guerre mondiale allait propulser cette industrie vers la prospérité.
Devant l'évolution des conditions du marché et de la concurrence, il est devenu avantageux pour la Grande-Bretagne d'avoir une pêcherie basée à Terre-Neuve.
La croissance du secteur non maritime durant la première moitié du 20e siècle a contribué à la diversification de l'économie de Terre-Neuve et du Labrador dans des secteurs autres que celui de la pêche.
La réforme prend naissance en temps de grave crise économique. La fin des guerres napoléoniennes déclenche une récession qui accable la colonie pendant des années.
À son arrivée au pouvoir, le gouvernement de J. R. Smallwood entend moderniser l'économie de Terre-Neuve et du Labrador par le développement et la diversification des secteurs économiques.
En 1972, l'élection d'un gouvernement progressiste-conservateur dirigé par Frank Moores a marqué un point tournant dans la politique de Terre-Neuve-et-Labrador.
L'Accord atlantique est une entente entre la province de Terre-Neuve-et-Labrador et Ottawa à propos de la gestion des réserves de pétrole et de gaz naturel.
Pratiquement chaque année depuis l'entrée dans la Confédération canadienne, le nombre de personnes désertant les collectivités rurales est supérieur à celui des personnes s'y installant.