Les progrès accomplis dans le secteur des transports à la fin du 19e et au début du 20e siècle ont eu un impact considérable sur le développement des industries minières et forestières à Terre-Neuve-et-Labrador.
Pendant une bonne partie des 17e et 18e siècles, les activités économiques caractéristiques de Terre-Neuve et du Labrador ne favorisent pas les interactions entres les groupes autochtones et les Européens.
De nombreux peuples autochtones de la province et du pays voient dans l'autonomie gouvernementale une façon de préserver leur culture et d'avoir un meilleur contrôle sur leurs destinées.