Matching Articles"18th Century" (Total 18)

  • Bien qu'elle soit souvent décrite en termes différents, l'expédition qui a mené à la « découverte » de Terre-Neuve était avant tout une entreprise commerciale.
  • Dans l'Empire britannique en pleine expansion des XVIIe et XVIIIe siècles, Terre-Neuve était une anomalie, considérée comme une industrie plutôt que comme une colonie, comme une activité plutôt que comme une société.
  • Établissement de la colonie de St. John's au 16e siècle.
  • Terre-Neuve ne comptait aucune ville de garnison jusqu'à ce que la France établisse une colonie à Plaisance en 1662.
  • Au cours d'un demi siècle d'occupation officielle, les Français érigent une série d'ouvrages fortifiés aux endroits jugés les plus propices à la défense de la colonie : un fort sur le plateau à l'est de Plaisance; une palissade autour de la ville; le fort louis du côté nord du goulet (aujourd'hui Jerseyside); le fort Royal sur la montagne (Castle Hill); une petite redoute sur le Gaillardin ainsi que plusieurs petites batteries s'échelonnant du port jusqu'à l'embouchure de la baie.
  • Chaque établissement de pêche compte habituellement une maison de l'habitant, un magasin à marchandises et à provision, des cabanes pour l'équipement de pêche et les équipages. Chaque habitant-pêcheur tente de garder la documentation couvrant les contrats passés avec les pêcheurs-engagés, les achats de marchandises, les ventes de morue, les billets à ordre, les avances de crédit allouées ou reçus, etc.
  • Une courte biographie de l'explorateur James Cook qui a cartographié le littoral de Terre-Neuve au 18e siècle.
  • La côte française appelée French Shore est issue du traité d'Utrecht ratifié en 1713.
  • Le site Web du Newfoundland and Labrador Heritage offre des reproductions de cartes et des cartes illustrant des articles précis.
  • Les activités de pêche par les Français à Terre-Neuve ont atteint leur apogée durant la première moitié du XVIIe siècle. Les Espagnols et les Portugais disparaissaient peu à peu de la scène, ne laissant pour seuls concurrents que les Anglais.
  • Pour les Français qui pêchent au large de Terre-Neuve, le XVIIIe siècle s'est caractérisé par un cortège de difficultés. Après un déclin catastrophique des stocks de morue côtière entre 1710 et la fin des années 1720, le conflit franco-anglais a eu un impact encore plus profond, bouleversant la pêche, les échanges et les marchés.
  • Les premiers Européens à fréquenter le nord-est de l'Amérique du Nord n'étaient pas des colons, mais plutôt des pêcheurs. Terre-Neuve, avec ses eaux poissonneuses, a d'abord été un lieu de pêche de la morue, un complément utile, puis de plus en plus indispensable, à la pêche pratiquée dans les eaux européennes.
  • Beaucoup de pêcheurs-engagés partent du département de Bayonne et du pays de Labourd en France pour venir pêcher à Terre-Neuve l'été. En février 1697, un règlement stipule que pour les régions de Bayonne et de Labourd, un maximum de 60 engagés peuvent partir pour Terre-Neuve à chaque printemps.
  • En 1763, la France a repris possession de l'archipel (Saint-Pierre et Miquelon) et y a réinstallé une petite population de résidents.
  • Deux relevés de la côte sud de Terre-Neuve ont été effectués entre 1714 et 1716 pour encourager l'installation des Anglais dans la région.
  • Le signe le plus visible du passage de Terre-Neuve du statut de lieu de pêche à celui de colonie fut la croissance de sa population permanente.
  • Un compte rendu sur la collectivité de St. John's au cours du 18e siècle.
  • L'accès à la pêche de Terre-Neuve s'est révélé l'un des points les plus litigieux des négociations de paix après la guerre de Sept Ans. Le Gouvernement français était résolu à poursuivre la pêche dans la région. Ses négociateurs ont donc demandé à la Grande-Bretagne de laisser les Français pêcher dans le golfe du Saint-Laurent, ainsi que sur le French Shore de Terre-Neuve telle que délimité par le traité d'Utrecht (1713). En outre, la France voulait un havre pour sa flotte de pêche sur les bancs et sa flotte hauturière, et demandait qu'on lui laisse le Cap-Breton à cette fin.