Divers progrès dans les technologies de pêche et de transformation du poisson ont entraîné des changements dramatiques dans les pêcheries de Terre-Neuve-et-Labrador.
S'il est une grande inquiétude à l'égard de l'industrie pétrolière extracôtière de Terre-Neuve-et-Labrador, c'est qu'elle cause de graves dommages à l'environnement océanique.
En 1969, le gouvernement Smallwood signe un contrat avec la société Hydro-Québec qui accorde à cette dernière les droits relatifs à l'eau des chutes Churchill pour une durée de 40 ans.