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  • L'industrie minière a joué un rôle important, quoique sporadique, dans l'histoire économique, sociale et culturelle de Terre-Neuve et du Labrador.
  • Déjà en 1578, un marchand de Bristol, en Angleterre, avait signalé la présence de gisements de minerai de fer dans l'île Bell.
  • Avec la construction de la ligne de chemin de fer, les travailleurs ont commencé à quitter leur foyer au bord des côtes afin de trouver du travail dans les nouvelles mines et usines à l'intérieur des terres de l'île.
  • Les représentants du gouvernement ont fait la promotion de divers secteurs non maritimes au cours de la première moitié du 20e siècle.
  • Extraits d'un projet pour la Heritage Fair de 1998, sur le thème du travail des enfants dans les mines de l'île Bell. Inclut un sommaire et une entrevue avec M. Charles Bown.
  • Le travail dans les mines de l'île Bell était difficile et souvent dangereux.
  • L'écorégion du réservoir Smallwood/Michikamau au Labrador peut être divisée en deux secteurs.
  • L'Angleterre de la fin du XVIe siècle s'intéressait de plus en plus à l'implantation de colonies en Amérique du Nord. Au nombre des promoteurs, il y avait Anthony Parkhurst, auteur d'un opuscule sur Terre-Neuve, et Sir Humphrey Gilbert, qui avait fait escale dans le havre de St. John's en 1583, avant son tragique voyage de retour vers le continent.
  • Dans l'Empire britannique en pleine expansion des XVIIe et XVIIIe siècles, Terre-Neuve était une anomalie, considérée comme une industrie plutôt que comme une colonie, comme une activité plutôt que comme une société.
  • Le lieu du débarquement de Jean Cabot soulève de grandes émotions à Terre-Neuve.
  • John Cabot a peut-être découvert la route océanique de l'Europe à l'Amérique du Nord, mais les informations qu'il a ramenées n'ont rien fait pour clarifier la géographie de l'est du Canada. Il aurait tout aussi bien pu toucher la pointe nord-est de l'Asie ou une des îles semées dans l'océan, et personne n'aurait pu dire le contraire.
  • Même si Terre-Neuve est régulièrement décrite comme « la plus ancienne colonie britannique », une prétention fondée sur le voyage de Cabot en 1497 et la prise de possession par Sir Humphrey Gilbert en 1583, il n'en demeure pas moins que la France, dès le tout début, a été un participant de premier plan à l'exploration et à la mise en valeur de Terre-Neuve.
  • La côte française appelée French Shore est issue du traité d'Utrecht ratifié en 1713.
  • Les activités de pêche par les Français à Terre-Neuve ont atteint leur apogée durant la première moitié du XVIIe siècle. Les Espagnols et les Portugais disparaissaient peu à peu de la scène, ne laissant pour seuls concurrents que les Anglais.
  • Pour les Français qui pêchent au large de Terre-Neuve, le XVIIIe siècle s'est caractérisé par un cortège de difficultés. Après un déclin catastrophique des stocks de morue côtière entre 1710 et la fin des années 1720, le conflit franco-anglais a eu un impact encore plus profond, bouleversant la pêche, les échanges et les marchés.
  • Pour avoir une idée de l'importance du poisson dans le régime alimentaire des Européens du XVe siècle, il suffit de savoir que la pêche employait plus de travailleurs que toute autre occupation, exception faite de l'agriculture.
  • L'accès à la pêche de Terre-Neuve s'est révélé l'un des points les plus litigieux des négociations de paix après la guerre de Sept Ans. Le Gouvernement français était résolu à poursuivre la pêche dans la région. Ses négociateurs ont donc demandé à la Grande-Bretagne de laisser les Français pêcher dans le golfe du Saint-Laurent, ainsi que sur le French Shore de Terre-Neuve telle que délimité par le traité d'Utrecht (1713). En outre, la France voulait un havre pour sa flotte de pêche sur les bancs et sa flotte hauturière, et demandait qu'on lui laisse le Cap-Breton à cette fin.