Dès les années 1660, le gouvernement français s'attend à ce que la population de Plaisance ne se livre pas exclusivement à la pêche et qu'elle s'adonne aussi à la culture du sol pour que la colonie ne dépende pas entièrement du ravitaillement apporté par les navires d'Europe. Bien que quelques habitants cultivent des potagers et gardent quelques animaux, l'agriculture ne devient jamais suffisante pour ravitailler la colonie.